Pour lutter contre la propagation du coronavirus, le port du masque chirurgical ou “grand public” (en tissus) était déjà obligatoire dans les transports en commun depuis le 11 mai. Il est désormais imposé à tout le monde dans de nombreux lieux publics clos dont voici la liste. Le décret est paru ce lundi dernier.

  • Salles d’auditions, de conférences, de réunions, de spectacles ou à usage multiple, y compris les salles de spectacle et les cinémas.
  • Restaurants et débits de boissons
  • Hôtels et pensions de famille
  • Salles de jeux
  • Établissements d’éveil, d’enseignement, de formation, centres de vacances, centres de loisirs sans hébergement
  • Bibliothèques, centres de documentation
  • Établissements de culte
  • Établissements sportifs couverts
  • Musées
  • Établissements de plein air
  • Chapiteaux, tentes et structures
  • Gares (SNCF, routières, maritimes)
  • Aéroports
  • Hôtels-restaurants d’altitude
  • Établissements flottants
  • Refuges de montagne
  • Magasins de vente, centres commerciaux
  • Administrations et banques
  • Marchés couverts

Le prix des masques chirurgicaux restera fixé à 95 centimes d’euros maximum jusqu’au 10 janvier 2021.

La Protection Civile de Haute-Marne s’est également adaptée pour vous accueillir lors des formations grand public. Lors de ces sessions, nous accueillons nos stagiaires avec des masques chirurgicaux et du gel hydroalcoolique , tout en respectant les distanciations sociales.

De nouvelles sessions de formation PSC1 (Premiers Secours Civique de niveau 1) sont à venir. Consultez notre site web.

Nouveauté : “Le non-respect de cette mesure pourrait être susceptible, comme c’est le cas dans les autres lieux où le port du masque est obligatoire, notamment les transports, d’une contravention de 4e classe”, soit une amende forfaitaire de 135 euros.

Le président Emmanuel Macron avait annoncé le 14 juillet que l’obligation de porter un masque entrerait en vigueur le 1er août, mais la date a été rapidement avancée face aux critiques des médecins qui alertent sur ces “signaux faibles” de reprise de l’épidémie de Covid-19 et le relâchement des mesures barrières.